samedi 12 mars 2011
Bigard au Stade de France
Bigard Best Of de Bigard
* Le lâcher de salope
* La chauve-souris
* La valise RTL
* Les expressions
* Les X commandements
* Les grands moments de solitude
* Les films d'horreur
* Les proverbes chinois
* Les autoroutes et les animaux
* Le parano
* Le ninja
* Le français et le mec bourré
Bigard 100% tout neuf
Bigard 100 Villes 100 Blagues
Les blondes, le sexe, les Belges, les médecins, les prostituées, les stars… Rien ni personne n’est épargné dans ce fil rouge décapant raconté de manière inimitable par l’indomptable Jean-Marie Bigard. « 100 villes 100 blagues » c’est 1H15 de fous rires garantis à consommer sans modération !
Axelle Laffont La Folie Du Spectacle
Arthur - Arthur en vrai
En paparazzi de sa propre vie, il dévoile enfin son quotidien acide et hilarant en pure autodérision. Parce que finalement sa vie est Un désastre sympathique ! Tout ce qu'on rêve de savoir sur lui sans jamais oser le demander. C'est Arthur en vrai !
Et si on essaye de comprendre pourquoi cette mise en danger, pourquoi ce nouveau challenge ? Il répond en souriant que Les bateaux sont toujours plus à l'abris dans les ports, mais qu'ils ne sont pas faits pour ça....
Arrête De Pleurer Pénélope 2
L'une d'entre elles envisage d'être mère, l'autre renacle, et la dernière fait n'importe quoi. Qui fait quoi ?
Et pourquoi ? Et comment ? Est ce que Pénélope arrêtera de pleurer ? Est ce que Léonie a trouvé son bonheur, et Chloé une forme de paix pour elle et surtout pour les autres ?
Arrête de pleurer Pénélope
Anthony Kavanagh - Anthony Kavanagh.com
Anne Roumanoff - Anne fait sa comédie
Marraine du Festival Paris fait sa Comédie 2008, Anne Roumanoff a invité ses amis humoristes pour un spectacle unique sur la scène de l’Olympia !
1h30 de fous-rires durant laquelle Anne Roumanoff nous livre quelques-uns de ses sketches cultes, se prête à des duos inoubliables et nous présente ses coups de cœur. On retrouve ainsi à ses côtés : Bernard Mabille, Fabien Kachev, Denis Maréchal, Isabeau de R ou encore Arsène Mosca.
Anne Roumanoff On ne nous dit pas tout
Anne Roumanoff - Anne a 20 ans
mercredi 9 février 2011
Blague 1
Ça se passe dans un village qui vit du tourisme, sauf qu'à cause de la crise il n'y a plus de touristes.
Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.
Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100$.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes. N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale?
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Tout le monde emprunte à tout le monde pour survivre.
Plusieurs mois passent, misérables. Arrive enfin un touriste qui prend une chambre. Il la paie avec un billet de 100$.
Le touriste n'est pas plutôt monté à sa chambre que l'hôtelier court porter le billet chez le boucher, à qui il doit justement cent dollars.
Le boucher va aussitôt porter le même billet au paysan qui l'approvisionne en viande.
Le paysan, à son tour, se dépêche d'aller payer sa dette à la prostituée à laquelle il doit quelques passes.
La prostituée boucle la boucle en se rendant à l'hôtel pour rembourser l'hôtelier qu'elle ne payait plus quand elle prenait une chambre à l'heure.
Comme elle dépose le billet de 100$ sur le comptoir, le touriste, qui venait dire à l'hôtelier qu'il n'aimait pas sa chambre et n'en voulait plus, ramasse son billet et disparaît.
Rien n'a été dépensé, ni gagné, ni perdu. N'empêche que plus personne dans le village n'a de dettes. N'est-ce pas ainsi qu'on est en train de résoudre la crise mondiale?